Au cours des vingt dernières années, au croisement de la littérature, de la performance, du film, de la poésie, mais aussi de la musique, Stéphane Bérard a produit six longs-métrages, quatre albums, quatre livres, une multitude de performances, de collaborations, une dizaine d’expositions personnelles. Prototypes, croquis et esquisses occupent une grande partie de ce corpus où l’invention représente un mode d’intervention critique. Il est représenté par la galerie Eva Meyer, Paris. Parmi ses publications récentes, L’Enfer de Dante Alighieri (traduction intégrale, Al Dante, 2008) et Charles de Gaulle. Mémoires d’espoir: le renouveau 1958-1962 (Questions Théoriques, 2011).